L’Assomption de Marie

Au terme de sa vie, Marie est élevée corps et âme, près de son Fils ; elle est préservée de la corruption du tombeau.

C’est dans le Christ que tous revivront, mais chacun à son rang : en premier, le Christ ; et ensuite, ceux qui seront au Christ lorsqu’il reviendra (1 Corinthiens 15, 22-23).

Tout comme dans le ciel où elle est déjà glorifiée corps et âme, la Mère de Jésus représente et inaugure l’Eglise en son achèvement dans le siècle futur, de même sur cette terre, en attendant la venue du jour du Seigneur, elle brille déjà comme un signe d’espérance assurée et de consolation devant le peuple de Dieu en pèlerinage. (Concile Vatican II, Lumen Gentium n°67).

Demandons la grâce d’une bonne mort.

Marie a été glorifiée auprès du Christ, élevée corps et âme au Ciel. Elle est vraiment notre Maman du Ciel, elle nous invite à embrasser sa main à L’Ile-Bouchard. L’accueillir, nous rapprocher d’elle, nous laisser attirer par elle vers le Ciel, pour recevoir par elle ses sentiments de douceur, de tendresse, de pureté, d’humilité et de simplicité.

Petit silence puis réciter la dizaine.